La famille, cellule fondamentale de l’épanouissement de l’individu, peut-elle se résumer au partage d’un ADN ?
L’utilisation de l’ADN dans le cadre d’une démarche administrative de regroupement serait-elle réellement au service des familles ? Quels en seraient les avantages et quels en seraient les inconvénients ? Et est-ce seulement réalisable dans la pratique ?
Que traduisent les réactions et le débat actuel sur la question ?
Deux tracts A5 sur une page A4.